jeudi 29 décembre 2016

Dans notre pays et en forme

La majorité des gens vivent en ville. Ce n’est pas une raison pour ne pas faire d’exercice. Et d’ailleurs, c’est bon pour nous : l’Organisation mondiale de la santé considère que si l’on fait chaque jour 30 minutes d’activité physique relativement intense, on réduit les risques de maladies cardiovasculaires, de diabète et de certains cancers. Et quand on abandonne la voiture et l’ordinateur, c’est tout bénéfi ce pour l’environnement. Pour être vraiment branché, il suffi t parfois de débrancher !
En Suisse, le ramassage scolaire s’effectue parfois au moyen d’un « pédibus » : le « chauffeur », un adulte, accompagne les enfants à l’école et s’arrête en chemin pour ramasser d’autres élèves. Dans d’autres pays, les municipalités prennent des
initiatives pour améliorer la sécurité des voies piétonnes.
À Dhaka, au Bangladesh, Safe, une association à but non lucratif qui milite en faveur de la santé, a lancé une initiative baptisée Safewalk qui incite les citoyens à se rendre à pied à l’école et à leur travail. Elle donne des cours de prévention routière et
s’efforce de réduire les embouteillages. À Samsuda et Arunee, des étudiants thaïlandais ont réalisé une vidéo qui montre les dangers auxquels les piétons doivent faire face, et ils ont lancé Footpath Please, un projet qui recueille des idées sur les manières de sécuriser les déplacements à pied dans leur ville
se rendre au bureau ou à l’école en vélo est excellent pour la santé cardiovasculaire et la forme. Et quand les gens abandonnent leur voiture, les émissions de carbone d’une ville baissent considérablement, tout comme la pollution sonore et les accidents de la route. La qualité de l’air, elle, s’améliore.
Les municipalités encouragent de plus en plus le cyclisme en tant que loisir et moyen de transport, mais c’est aux urbanistes et aux législateurs qu’il appartient de créer les infrastructures permettant d’assurer leur sécurité. Il faut tenir compte de plusieurs éléments. D’abord, pour encourager les cyclistes, il faut leur réserver une partie de la chaussée ou même interdire certaines rues aux voitures : le Danemark a prouvé qu’en séparant les pistes cyclables du reste de la chaussée, on pouvait réduire les accidents mortels de plus d’un tiers. On peut aussi inciter les gens à ne plus prendre leur voiture en introduisant un péage pour les véhicules à moteur empruntant les quartiers les plus encombrés – comme celui qui existe à Londres, qui a permis d’augmenter de 20 % le nombre de cyclistes mais aussi de faire baisser de 20 % les émissions de carbone liées à la circulation en ville. À Los Angeles, où la voiture est pourtant reine, la ville a décidé de consacrer 230 millions de dollars aux infrastructures cyclables, dont plus de 2 000 kilomètres de pistes et des aires de stationnement. À Venise, en Italie, des retraités proposent officiellement leurs services pour accompagner à vélo les enfants qui se rendent à l’école et garder les bicyclettes durant les heures de classe.
Les municipalités favorisent également le cyclisme en permettant à n’importe qui de louer des bicyclettes disponibles dans des bornes, en payant avec des pièces ou une carte à puce. La première initiative du genre, White Bicycle Plan, est née dans les années 1960 à Amsterdam – peut-être la ville du monde la mieux adaptée aux vélos – et le Vélib’ de Paris est une des plus célèbres aujourd’hui. L’idée a rapidement fait son chemin : il existe environ 200 programmes de partage de bicyclettes en action ou en projet dans des villes aussi éloignées que Shanghai, Buenos Aires, Téhéran, Séoul, Brisbane, Prague et Thane, en Inde.
Les ressources liées au cyclisme sont importantes aussi, comme le centre Bike to Work de Djakarta, qui sert à la fois de point de rencontre pour les cyclistes, d’atelier d’entretien, de bibliothèque et de magasin de vélos. Au Royaume-Uni, l’association pour les transports durables Sustrans propose
des cartes des quelque 20 000 kilomètres de pistes piétonnes et cyclables du pays.

La relation entre les plantes et l'environnement

Rien ni personne ne pourrait survivre sans les plantes. 
Elles sont fondamentales à la plupart des écosystèmes 
de la Terre et les aident à réguler le climat. Elles sont 
source de matériaux de construction, médicaments, 
combustibles, eau potable et aliments, qui sont tous essentiels 
pour la santé humaine. Malheureusement, les espèces sont en 
déclin rapide : selon L’Indice Liste Rouge pour les plantes que 
vient de publier l’Union internationale pour la conservation 
de la nature (UICN) – élaborée suite à l’étude entreprise par 
le Musée d’histoire naturelle de Londres, l’Union internationale 
pour la conservation de la nature (UICN) et le Jardin botanique 
royal de Kew (Londres) – les changements climatiques et la 
disparition de certains habitats menacent d’extinction un 
cinquième des 380 000 espèces de plantes répertoriées.
Le Projet de banque de semence du millénaire (MSB) de 
Kew s’est donc lancé dans une course effrénée pour protéger un 
maximum d’espèces de plantes, en donnant la priorité aux plus 
utiles et aux plus menacées. En 2000, dans le cadre de sa mission 
d’étude et de protection de la biodiversité végétale, l’institut de 
recherche botanique a mis en place le MSB chargé de recueillir 
et cataloguer des semences du monde entier. En collaboration 
avec des partenaires de 50 pays, le MSB détermine les graines 
dont les besoins sont les plus urgents, il propose du matériel 
et des formations à la conservation, et participe à l’élaboration 
de programmes de conservation à long terme. Les semences 
sont analysées pour connaître leur ADN, testées pour mesurer 
leur viabilité et, lorsque c’est possible, mises à disposition de la 
recherche scientifi que non commerciale.
Une mission de sauvetage
C’est en matière de sécurité alimentaire que la perte de
biodiversité est la plus préoccupante. Le MSB a récemment
collaboré avec le Fonds fi duciaire mondial pour la diversité des g
cultures (FFMDC) de l’Organisation des Nations Unies pour
l’alimentation et l’agriculture. Leur mission commune consistait
à sauvegarder les ressources génétiques emmagasinées dans les
espèces sauvages de cultures qui nous sont indispensables.
Plus de 30 000 espèces de plantes sont comestibles,
mais nous en cultivons moins de 150 pour l’alimentation, et
à elles seules, 12 espèces fournissent 80 % de l’alimentation
mondiale. Une telle dépendance pourrait se révéler catastro-
phique face aux hausses de température, aux modifi cations des saisons, à la croissance démographique et à la diminution des
surfaces arables.
Cary Fowler, Directeur exécutif du FFMDC, explique
que nous avons besoin de la diversité génétique des espèces
sauvages parentes, parce qu’elles détiennent les solutions à des
problèmes tels que la tolérance à la sécheresse, aux ravageurs
et aux températures. « Au départ, toutes nos cultures ont évolué
à partir d’espèces sauvages », explique Cary Fowler. « Nous les
avons développées à partir des plantes les mieux adaptées aux
climats du passé. Aujourd’hui, nous devons retrouver des ancêtres
sauvages de ces cultures qui soient capables de supporter les
climats de l’avenir. Un changement d’un petit degré durant la
fl oraison du riz, par exemple, peut faire baisser les rendements
de 10 % et provoquer d’énormes pénuries. Si nous pouvions
intégrer au riz cultivé les gènes d’une variété sauvage de riz
fl eurissant la nuit, les rendements pourraient être maintenus
ou améliorés. »
Le FFMDC a déjà recueilli et stocké des millions d’échantillons
de semences dans sa chambre forte arctique de Svalbard, en
Norvège. Son partenariat avec le MSB se concentre sur la collecte,
la protection et la recherche des caractéristiques génétiques utiles
des parents sauvages de 23 cultures alimentaires : luzerne, noix
bambara, banane, orge, doliques, fèves, pois chiche, doliques à
œil noir, éleusines, gesses communes, lentilles, avoine, pois, millet
perle, pois cajan, pomme de terre, seigle, riz, sorgho, tournesol,
patate douce, vesce et blé. Dix années durant, les graines recueillies
feront l’objet d’une présélection qui permettra de déterminer les
gènes pouvant être intégrés à des plantes domestiques. Une fois
identifi é, le matériel sera mis à disposition des sélectionneurs.
Comme il faut parfois une dizaine d’années pour créer une
nouvelle variété, c’est une course contre la montre.

mercredi 28 décembre 2016

La santé et l'environnement

Tout le monde souffrira des changements 
climatiques. Ceux qui vivent dans le monde 
industrialisé s’en tireront relativement 
bien : l’alimentation et d’autres produits 
deviendront plus chers ; les événements 
climatiques extrêmes comme les canicules 
et les inondations feront des victimes ; les 
maladies respiratoires et cardiovasculaires 
augmenteront ; les maladies infectieuses 
se multiplieront dans certaines régions ; 
le coût des assurances grimpera ; et les 
services liés aux infrastructures comme 
l’adduction d’eau et l’assainissement 
subiront des pres sions grandissantes. 
Mais tout ceci n’est rien comparé à ce 
que subira une bonne partie du monde 
en développement, dans les régions où 
les populations ont un accès limité aux 
services de santé.
Maladies et mortalité : La hausse des 
températures, de la pluviosité et du niveau 
des mers augmentera l’intensité et l’éten-
due géographique des maladies infectieuses 
ou liées à l’eau ou aux insectes, comme 
le choléra et le paludisme. Par exemple, 
on dénombre actuellement chaque année 
250 millions de cas de paludisme qui 
touchent principalement les enfants de 
l’Afrique sub-saharienne : ce chiffre pourrait 
doubler d’ici 2080. Les inondations et le 
réchauffement des eaux entraîneront la 
croissance des bactéries et la propagation 
du choléra. Les canicules, comme celle qui 
a fait 70 000 victimes en Europe en 2003, 
seront plus fréquentes. Et les glissements de 
terrain, inondations, violentes tempêtes et 
autres catastrophes naturelles imprévisibles 
feront de plus en plus de victimes.
Alimentation, eau et assainissement : En 
1995, le nombre de personnes atteintes 
par la faim et la malnutrition chronique 
– prin cipalement en Afrique sub-saharienne 
et en Asie du Sud – est tombé à 800 millions, 
son chiffre le plus bas. Depuis, la tendance 
est à nouveau à la hausse, et la barre des 
925 millions a été dépassée suite aux 
augmentations récentes des coûts de 
l’alimentation. Plus d’un cinquième des habitants du monde en développement
n’ont pas d’accès régulier à l’eau potable
et la moitié d’entre eux ne disposent
pas d’assainissement. Environ 1,5 milliard
de personnes vivent déjà dans des ré-
gions souffrant de stress hydrique. Les
changements climatiques aggraveront la
situation, et les sécheresses auront un fort
impact sur les cultures, la malnutrition et
les maladies. Quant aux inondations, elles
fragiliseront des infrastructures d’assai nis-
sement déjà insuffi santes et abîmeront des
terres arables. Dans le sud et dans le centre
de l’Afrique, en Europe et dans le bassin
méditerranéen, et dans le sud des USA, la
baisse des précipitations fera augmenter
le nombre de personnes touchées par
le stress hydrique, réduisant là encore
les rendements agricoles. La fonte des
glaciers commencera par inonder les
régions en aval, puis, une fois ces réserves
d’eau naturelles disparues, la sécheresse
s’installera. Par ailleurs, l’évolution des
mala dies des plantes et du bétail réduira
également la productivité agricole.
Les villes : Selon les prévisions, la
population urbaine des pays en dévelop-
pement devrait croître et passer de
2,3 milliards en 2005 à 4 milliards d’ici à
2030. Et au fur et à mesure que les villes
s’étendront – gonfl ées par les logements de
fortune de ceux qui auront fui un milieu
rural qui ne les nourrissait plus –, leur
vulnérabilité aux changements climatiques
augmentera. Les inondations et les glisse-
ments de terrain, l’eau contaminée, les
pénuries alimentaires et les maladies frap-
pent toujours plus durement les pauvres des
zones urbaines. Et comme nombre de ces
agglomérations en expansion sont situées
sur les côtes, elles risquent aussi d’être
confrontées à la hausse du niveau des
mers, qui est en moyenne de 4,2 millimètres
par an.

samedi 24 décembre 2016

Obesity

surveys indicate that an estimated 61% of U.S citizens aged 20-74 are either overweight or obese. with such a big number of overweight and obese People,it is no wonder that the American government is concerned.

freedom

All human beings are born free and equal in dignity and rights

Amnesty international

Amnesty international is a worldwide movement of people Who campaign for internationally recognised human rights

Education

Education shall be directed to the full development of the human personality and to the strengthening of respect for human rights and fundamental freedoms

Environment

-Let's save the environment
-Let's save our planet
The earth has enough for people's need and not for their greed
ليس القوي بالصراعة ولكن القوي هو الذي يتمالك نفسه عند الصدمة الأولى
يحكى أن جحى كان مسافرا إلى مدينة مجاورة للمدينة التي يسكن فيها فركب دابة هو وصاحب الدابة فاتفق مع صاحب الدابة أن يركب معه بدينارين فلما وصل جحا أعطى لصاحب الدابة ديناراً واحداً فقال له صاحب الدابة:أين الدينارين اللتين وعدتني بها؟؟فقال جحا: لقد كنا نركب الدابة معا إذن دينار أدفعه أنا ودينا تدفعه أنت
عندما تأتيك الهموم متتالية فاعلم أن أشياء أخرى جميلة ستأتيك دفعة واحدة فلا بد أن من بعد العسر يسرا
:بيت شعري من قصيدة البردة في مدح الرسول صلى الله عليه وسلم
إن الرسول لنور يستضاء به***مهند من سيوف الله مسلول

:من الشعر العربي الجميل
ألا ليت شعري هل يرى الناس ماأرى***من الأمر أو يبدو لهم من الأمر ما بداليا
بدا لي أن الله حي فزادني***إلى الحق تقوى الله ماكان باديا
بدا لي أن الناس تفنى نفوسهم وأموالهم ولا أرى الدهر فانيا
النصيحة في إطار النصح هي شيء إيجابي يصدر من الطرف الآخر أما النصيحة التي تكون في إطار التفاخر والظهور فهذه الأخيرة تسمى فضيحة وليست نصيحة

vendredi 23 décembre 2016

هل تعلم أن جمع إنسان هو أناسي وقد ورد ذكره مرة واحدة في القرآن الكريم في سورة الإنسان
صدغ الحبيب وحالي***كلاهما كالليالي
وثغره في صفاء***وأدمعي كاللآلي
جبل هبري والطبيعة الخلابة الساحرة هذه منطقة من المناطق التي تزخر بها المغرب
ألا ليت الشباب يعود يوما***فأخبره بما فعل بي المشيب
من ضاقت عليه الأرض بما رحبت فليطرق باب العظيم الذي لايخيب أحدا سبحانه وتعالى.باب الله عزوجل كما قال جل جلاله:" وقال ربكم ادعوني استجاب لكم "
قال الشاعر: "
وليل كموج البحر أرخى سدوله***علي بأنواع الهموم ليبتلي
من شعر امرئ القيس
أصبحت هنالك حرب مصلحة في العالم وتكبر يوماً بعد يوم فأصبحنا نفتقد لروح التعاون والإنسانية فمتى نرجع للحمتنا كعالم موحد متضامن؟ ؟؟سؤال مهم يطرح نفسه
:قال تعالى
"وننزل من القرآن ماهو شفاء للناس"
فالقرآن هو شفاء لجميع الأسقام فعندما تقرأ القرآن تتطهر روحك ويصفو قلبك

"اللهم اجعل بلدنا آمنا مطمئنا وسائر بلاد المسلمين" 
اللهم آمين 
"قارئ الحرف هو المتعلم وقارئ الكتاب هو المثقف "
منقووول
عرف الشعر في عصر الأمويين نقلة نوعية فيما يتعلق بالأساليب والمفردات التي أعطت طابعا ورونقا جميلاً بعدما كان قد عانى كثيرا بعد العصر الإسلامي الذي كان يؤشر لاوج عطائه
قال الله تعالى:"حتى إذا أتوا على وادي النمل قالت نملة ياأيها النمل ادخلوا مساكنكم لا يحطمنكم سليمان وجنوده وهم لا يشعرون" استعمل الله سبحانه وتعالى لفظ 'التحطيم' ولم يستعمل لفظ آخر لأنه تم التوصل علميا أن النمل فيه نسبة من الزجاج
:قال الشاعر أحمد شوقي
قم للمعلم وفه التبجيلا***كاد المعلم أن يكون رسولا
لأعلمت أشرف أو أجل من الذي***يبني وينشئ أنفسا وعقولا

تيقول المثال المغربي : لي فاتك بليلة فاتك بحيلة
رؤية المرآة والابتسامة فيها كل صباح يعطي للإنسان حيوية و نشاط طيلة  اليوم
إذا أردت أن تغير نظرتك حول العالم فغير نظرتك حول نفسك أولا

الاستيقاظ الباكر

هل تعلم أن الاستيقاظ في الصباح الباكر يعطي انطباع إيجابي للإنسان
سحر وجمال مدينة إفران